Retour sur plus de 5 ans de chroniques

Alors que je change de système d’envoi de mails, faisons le point sur les mails envoyés depuis le début.

La première chronique a été envoyée en Décembre 2017. Cela fait donc 5 ans 1/2 que le dimanche, avec un timing anarchique, j’arrive sur ta boite mail (pour les plus anciens).

Je ne sais même plus pourquoi j’ai commencé.

L’égo sûrement, la volonté de partage surtout. Voyons plutôt ce qui t’intéresse…

Les taux d’ouverture de ces chroniques sont plutôt élevé et les taux de clics aussi, et je vois des évolutions. 

Tu veux des chiffres ? 

Sur les 2 dernières années, en moyenne une newsletter fait 45% d’ouverture et quasi pareil de clic. Je ne suis pas intime avec plus de 1,000 personnes, il semblerait que les thèmes parlent à la plupart.

Et pourtant, c’est comme une boite de chocolat, 

On ne sait jamais sur quoi on va tomber

Alors qu’est ce qui t’a plu ces 12 derniers mois ?

Le top 3

En les relisant, je réalise que ces mails, tout en étant un peu énigmatiques, ont titillé ta curiosité.

Cela veut dire que tu es curieux.se, c’est la bonne nouvelle. 

Les 3 fours ?

Quand je regarde bien, ce sont des chroniques où je me plains. Voilà une belle leçon : ne pas se plaindre… je retiens…

Mais qui lit ces chroniques ?

A un certain moment, certains ont été inscrit de force (c’était avant RGPD… et ils ne se sont pas désabonnés…). En moyenne, je perds 10 abonnés par an (je dé-sinscris ceux qui n’ouvrent jamais). Donc j’avoue, je suis content et j’essaye de partager des sujets qui, je l’espère, te plaisent.

J’ai écouté un podcast très intéressant sur Orwell. J’ai appris avec intérêt que pendant la guerre, il s’était lancé dans un chronique hebdomadaire intitulée « à ma guise » où il traitait, en vrac des roses, des crapauds, de woolworth, des abeilles et d’autres sujet apparemment anodins. Tu me diras, à l’époque on ne pouvait pas connaître le taux d’ouverture…

Une dernière demande

En cette période estivale, alors que les terrasses s’animent, j’aimerais bien rencontrer les lecteurs silencieux. Pas ceux que je croise souvent, mais plutôt cette majorité silencieuse, trop timide pour se désabonner. Quand j’ai importé la liste dans le nouveau système de mail, j’ai revu des noms, croisés il y a bien des années. Cela me ferait plaisir de prendre un café avec toi que je n’ai pas vu depuis si longtemps… Envoie moi un mail STP et on se cale cela avec un IMMENSE plaisir. On parlera de ta passion par exemple, de ce qui te rend heureux. Et , en particulier, je lance une bouteille à la mer pour des partenaires d’URBEX et exploration des catacombes à Paris…